«ParaMediForm m’a permis de devenir indépendant dans le domaine de l’alimentation.»
Sur la voie du succès avec ParaMediForm
Les personnes intéressées par la nutrition et ayant l’esprit entrepreneurial utilisent notre concept commercial ayant fait ses preuves depuis de nombreuses années. Avec ParaMediForm, elles ont réussi à se lancer en tant qu’indépendantes.
Saisissez votre chance!
Lisez sans attendre les interviews et visionnez les vidéos de nos franchisé·e·s pour en savoir plus sur l’aventure ParaMediForm:
Simone Wietlisbach, née Häcki, directrice de l’institut ParaMediform de Zoug, vous en dévoile davantage sur son travail en tant que conseillère en nutrition chez ParaMediForm.
Entretien avec Ruth Schnurrenberger
ParaMediForm Wetzikon
Madame Schnurrenberger, il y a vingt ans, vous avez ouvert un institut ParaMediForm. Comment cette idée vous est-elle venue?
En raison d’un changement dans mon travail, j’ai décidé de changer de voie. Comme l’alimentation m’a toujours intéressée, j’ai eu l’intention de suivre la formation de quatre ans qui permet de devenir diététicienne diplômée. En raison de la limite d’âge qui était alors fixée à trente ans, cela n’a toutefois pas été possible. Parallèlement, la publicité de ParaMediForm m’a parlé, même si j’ai d’abord eu des réticences : je craignais qu’il ne s’agisse d’un système de type boule de neige. Mais ces doutes ont été balayés après mon entretien avec Madeleine Bräuer, et j’ai fondé mon propre institut ParaMediForm à Wetzikon.
Selon quels critères avez-vous choisi l’emplacement de votre institut à ce moment-là?
Comme mes trois enfants étaient encore en bas âge, il était important pour moi que mon trajet pour me rendre au travail soit court. Et puis je voulais utiliser le fait que j’étais connue dans la région en raison du nombre incalculable de cours pour adultes que j’avais donnés. Je suis aussi attachée à l’Oberland zurichois.
Durant vos vingt années en tant que franchisée avez-vous pu participer aux décisions concernant la voie que ParaMediForm allait suivre?
Bien sûr, et cela continue. En tant que membre du comité, je peux avoir une grande influence, ce qui est important pour moi. Dans ce cadre, nous avons respecté les fondements de ParaMediForm, tout en les renouvelant totalement et en les élargissant au fil des ans.
Très honnêtement, vous réussissez extrêmement bien dans le domaine de la perte de poids liée à l’alimentation depuis vingt ans maintenant. Avez-vous encore besoin de la centrale ParaMediForm?
Impérativement! Car ensemble, nous sommes plus forts. Je trouve toujours très précieux d’échanger avec les collègues qui ont le même bagage que moi lors des journées d’échanges d’expérience. Les formations continues qui ont lieu en permanence à notre centrale sont également importantes. Ensemble, nous avons permis que ParaMediForm soit connu dans toute la Suisse et grâce au développement continu du programme, nous nous distinguons par le fort degré de personnalisation dans le typage glandulaire.
Si vous n’étiez pas liée à un système de franchise, que feriez-vous différemment?
Je ne peux pas le dire, car c’est le seul système que je connaisse. Mais si quelque chose ne me convient pas, je cherche le dialogue
Comment voyez-vous la suite, êtes-vous prête pour une nouvelle période de vingt ans avec ParaMediForm?
Non, certainement pas. Il y a un temps pour tout, et il faut aussi savoir se retirer.
Quelle que soit la longueur et l’exhaustivité de la formation dans le domaine de la nutrition, après l’obtention de son diplôme se pose toujours la question de l’après: que faire? Ce n’est pas la formation qui décidera, mais le marché.
Entretien avec Tanja Peterhans
ParaMediForm Sursee
Madame Peterhans, comment êtes-vous devenue indépendante avec ParaMediForm?
Aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours eu des problèmes de poids. Mais au moment de la puberté, cela s’est vraiment aggravé. Après toute une série de tentatives aussi pénibles qu’infructueuses pour suivre des régimes et des milliers de francs de dépenses pour des méthodes, des boissons, des régimes express et autres, j’ai vu une annonce de ParaMediForm. Chaque nouvelle annonce que je lisais me parlait un peu plus. À un certain moment, j’ai vraiment eu envie d’en savoir plus et j’ai pris rendez-vous.
La méthode m’a paru plausible et elle m’a convaincue. Quand j’ai remarqué que la balance indiquait effectivement chaque semaine des chiffres de plus en plus bas, ma motivation a bien sûr grandi semaine après semaine. Les séances hebdomadaires avec ma conseillère (merci Mme Polzhofer !) ont été très importantes pour moi. Finalement, j’ai perdu 40 kilos et non pas les 20 kilos initialement prévus. La méthode m’a convaincue à un tel point que lorsque j’ai terminé le programme, j’ai continué de m’intéresser au sujet. Je me suis donc renseignée au sujet de diverses formations en conseil alimentaire. Mais je me suis rendue compte que cela n’était pas ce que je recherchais. Le temps a passé, mais je gardais toujours ce sujet dans un coin de mon esprit.
Lors d’une discussion avec ma mère, nous avons à nouveau mentionné le nom de ParaMediForm. Après avoir un peu hésité, j’ai finalement pris rendez-vous avec Reto et Mirjam Zumbühl. Après notre entretien, il était assez clair pour moi que ParaMediForm allait continuer à m’accompagner. Mais je voulais aussi éviter de me précipiter, au risque de regretter ensuite ma décision. Il ne s’agissait pas que d’un changement de travail. Après toute une série de discussions avec des amis et des membres de ma famille, j’ai repris le chemin de Lenzbourg. Cette fois, j’étais accompagnée de mon père. Comme il avait un avis très critique sur la franchise, c’était parfait qu’il m’accompagne. De manière surprenante, après l’entretien, il n’était pas totalement opposé au projet. Après d’interminables listes de pour et de contre, de nouvelles discussions avec des amis et des membres de ma famille, j’ai finalement décidé d’ouvrir un institut ParaMediForm à Sursee.
Quels ont été les arguments les plus importants pour vous, qu’est-ce qui vous a finalement incitée à vous lancer dans la franchise
Je savais au fond de moi que j’adhérais totalement au programme. Le fait que ParaMediForm était alors sur le marché depuis vingt-quatre ans, et que c’était donc un programme connu, était une sécurité pour moi. Je suis soutenue par toute la centrale ParaMediForm, qui a un grand savoir-faire. Et bien sûr, le soutien de ma famille et de mes amis était aussi très important pour moi.
Quels sont de votre point de vue les facteurs décisifs pour réussir avec le modèle d’affaires de ParaMediForm?
En premier lieu, c’est certain, le fait que j’aie moi-même suivi le programme. Il est aussi important d’avoir une bonne perception d’autrui, pour repérer les souhaits du client. Certaines personnes n’ont pas tellement envie de savoir beaucoup de choses, pour elles, l’essentiel est que cela fonctionne. D’autres au contraire veulent tout savoir de A à Z. Un autre atout est d’être avenant, d’avoir du tact, un soupçon de courage mais aussi l’envie de faire face aux défis et du plaisir pour la vente.
Quels sont vos futurs objectifs avec ParaMediForm?
En premier lieu, ce qui compte le plus pour moi est que mes clients et clientes continuent d’être satisfaits et qu’ils atteignent leur poids de bien-être avec facilité. En ce moment, je suis en train de tout préparer pour une collaboratrice. Mon prochain but est donc tout clair : l’accueillir et la préparer à son travail pour qu’elle puisse ensuite conseiller nos clients avec tout autant de passion que moi. Dès que cela roulera à deux, beaucoup de chemins s’offriront à moi. Éventuellement, à un certain moment, ouvrir un deuxième institut et le mettre en route.
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